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Bïa + Louis Simão + André Valerio

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Louis Simão

Depuis vingt ans, le multi-instrumentiste torontois Louis Simão joue, compose et enregistre dans une foule de genres musicaux. En 2016, il lance son premier album solo, A Luz (La lumière). Accompagné par la crème des musiciens de Toronto, Simão, première génération d’immigrés portugais, embarque l’auditeur dans un voyage à travers les sons de la planète lusophone. Ses racines culturelles et sa sensibilité jazz se marient dans une musique à la fois profondément personnelle et universelle, allant de la samba à la musique folklorique portugaise, en passant par le funk. Comme accompagnateur, il a notamment travaillé avec Nelly Furtado, Dominic Mancuso, The Sicilian Jazz Project, Patricia Cano et Sophie Milman, en plus d’assurer la première partie de la grande Cesaria Evora. En 2017, Louis Simão a été nommé Artiste solo de l’année dans la catégorie « Musique du monde » aux Prix de musique folk canadienne.

André Valerio

Multi-instrumentiste d’origine brésilienne, André Valerio est un des musiciens les plus en demande sur la scène torontoise, tant à titre de guitariste que de compositeur et d’arrangeur. Jouant également de la mandoline, de la basse et du cavaquinho, il s’est produit dans le cadre de nombreux événements à travers le Canada, de même qu’au Mexique, aux Pays-Bas et au Brésil. Après avoir découvert l’œuvre des grands maîtres de la bossa nova durant son enfance, il s’est ensuite intéressé au répertoire classique et au jazz, maîtrisant ces divers idiomes avec égale aisance. Au Collège Humber, André a étudié auprès de certains des plus grand instrumentistes et pédagogues canadiens, y compris Ted Quinlan, Geoff Young, Brian Dickinson, Pat Labarbera et Nathan Hiltz. À Toronto, on peut régulièrement entendre André à la tête de divers ensembles évoluant dans les domaines du jazz, de la musique brésilienne et de la musique classique.  

Bïa 

L’auteure-compositrice d’origine brésilienne Bïa occupe une place privilégiée sur la scène musicale québécoise, où elle a élu domicile après des années de bourlingue qui l’ont menée du Brésil au Chili, puis au Portugal et en France, où elle a fait la connaissance de Pierre Barouh, qui lui a permis d’enregistrer en 1997 son premier album, La mémoire du vent, qui s’est mérité le Grand Prix de l’Académie Charles Cros. En plus de signer un répertoire qui puise à parts égales dans les traditions de son pays natal et celle de la grande chanson d’expression française, cette « sambassadrice » transculturelle a adapté et interprété Félix Leclerc et Beau Dommage en portugais, Chico Buarque en français et Georges Brassens en espagnol. Mettant sa plume fertile au service d’autres voix (y compris celle d’Henri Salvador), elle a aussi collaboré avec Yves Desrosiers, le temps d’un album de ce dernier consacré à Vladimir Vissotsky. Le premier roman de Bïa, Les Révolutions de Marina, a paru en 2009 aux Éditions du Boréal. Son plus récent album, Bandidas, est le fruit d’une collaboration avec la chanteuse mexicaine Mamselle Ruiz.

« Bïa tutoie le public, à qui elle donne souvent l’impression de parler dans le creux de l’oreille. » (Yves Bernard, Le Devoir)

« Bïa est une artiste avec laquelle on tombe instantanément en amour. Difficile de rester de marbre devant autant de charisme, de simplicité, de naturel, de talent. »

(Éric Dumais, Bible urbaine)​

« Voix de source, présence lumineuse, douce rigueur, simplicité totale. Bïa est un oiseau. » (Daniel Patchenko, Chorus)

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Vendredi 16 novembre 2018, 20h

Heliconian Hall 35, avenue Hazelton

Bïa

+ Louis Simão +André Valerio

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